10 octobre 2004
voilà, c'est fini
La question n'est pas d'assumer, mais de se sentir libre, et c'est la moindre des choses quand on écrit.
J'entends Jean Louis Aubert alors que j'écoute Morcheeba, cette fin m'est douce, me libère, j'arrive au noyau du fruit, la décision m'ouvre des portes.
Je n'oublie rien, j'ai transféré ou imprimé, et maintenant je cherche ma place...
Note postée sur un autre blog, disparu
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